Coupe Rogers
Je n'ai jamais été grande amatrice de tennis. Mais l'histoire a su m'accrocher dans l'détour.
Par un beau dimanche d'été full pétant de beau temps, je me bute à un Lutin scotché devant la télé. Il est 2 heures et vite, faut profiter du beau temps.
- Oui, oui. On part bientôt...
- Ben là, dans combien de temps ? On ne va pas passer l'après-midi à regarder un match de tennis, viarge !
- Du calme ! C'est LA finale de Winbeldon : Federer conter Nadal.
- ... (aucun émoi)
- Donne-moi 15 minutes.
Qui se sont transformés en 30 minutes. Lutin a dû céder devant l'insistance féminine. En douce revange, il a boudé mon super plan, une fois rendu sur les lieux. Nous avons eu droit à seulement 24 minutes de baignade à la piscine municipale. Être deux comporte sa part de compromis. Nous avons filé dans le Mile-End devant une crème glacée et... par magie un écran de télé ! C'est à ce moment que l'émoi a quické. Un match de 5 heures enlevant et tellement serré que spectaculaire, et selon McEnroe, le plus grand match de l'histoire.
Encore mieux ce soir, grâce à un cadeau de fournisseur, j'ai pu expérimenter un match live à la Coupe Rogers. Nouvelle vedette après avoir planté Serena Williams ce week-end, j'ai accompagné miss Aleksandra Wozniak de mes encouragements, avec toute cette foule gagnée d'avance. J'ai évidemment hurlé de bonheur quand elle a eu raison de miss Chan, dans un dernier set serré et hautement compétitif. J'envie boss qui sera au match de demain contre la numéro 2 mondiale : Jelena Jankovich. La piqure, je vous dit !